Rose Silberstein

Je m'appelle Rose Silberstein. Je suis né(e) le 15 novembre 2004 et je suis donc âgé(e) de 16ans.
Actuellement, j'étudie en 6e année à Poudlard dans la maison de Poufsouffle.
Je suis une née moldue, je n'aiaucun frère ou soeur.
Ma baguette est composée comme ceci : Bois de sorbier, 29,9 cm, plutôt souple. Coeur en crin de Licorne.
Mon personnage est incarné par Alina Kovalenko.

D'un teint de nacre, la demoiselle à cette peau si particulière qu'arbore bien des personnes à la chevelure tel que la sienne. D'un visage d'un ovale délicat, elle à les pommettes haute et le peau aussi lisse que celle d'un enfant, quoi de plus normal pour une jeune demoiselle de seize ans à peine. Son front est étroite et ses yeux d'un beau vert d’émeraude, vifs et étincelants. D'un nez droit et délicat, vous observerez des taches de rousseurs, glissant de chaque coté de celui ci jusqu'à rejoindre ses joues et ses pommettes. D'une physionomie des plus gaie et souriante, vous la verrez rarement arborer autre chose qu'un sourire. Qu'il soit doux ou polie, triste ou de façade. Le sourire est une armure qu'elle à appris à manier avec élégances
Ne faut il point cela, lorsque l'on arbore une chevelure d'un roux flamboyant qui ne plaît point toujours à tous ? Quel enfant aux cheveux roux n'a jamais eu quelques insultes lui rappelant des choses tel que l'odeur par temps pluvieux, l'âme absente ou tout autre choses. Pourtant, ses cheveux ne sont ils pas sublime ? Ces long cheveux roux, glissant jusqu'au centre de dos, bouclant légèrement sur les pointes.
D'une morphologie que l'on appellerait en huit, la demoiselle à les épaules et les hanches dans un même alignement, ainsi qu'une taille marquée. Certains pourront la voir comme pulpeuse, ses formes ayant pris place sous son uniforme scolaire, faites de hanches généreuse et de poitrine qu'elle aimerait pouvoir cacher plus facilement.
D'une taille assez grande pour une demoiselle, elle se sent parfois stupide à toiser les autres filles de son mètre soixante-quinze. Malheureusement, on ne choisi pas sa taille.
Fort heureusement, elle a certaines parties de son corps qu'elle apprécie. Des mains douces et fines. Des jambes longues et élancées. Des pieds fin et délicat. Certains la disent jolie. Elle se trouve correct. Ni belle, ni laide, juste une fille de plus arpentant les couloirs de l'école de sorcellerie de sa démarche élégante, toujours droite, toujours gracile, telle la danseuse sur glace qu'elle se révèle être.
En ce qui concernera ses goûts vestimentaires, ceux ci sont des plus simple. Quand elle ne porte point son uniforme scolaire, elle préférera quelques robe et jupe fluide, de couleurs pastel le plus souvent. Elle n'aime pas ce qui est trop échancré ou dévoilant trop de peau, mais elle à toujours pris bien plus de plaisir dans une jolie robe que dans un jogging, bien qu'elle aime particulièrement ses jeans et ses baskets quand il faut être plus décontracté.

Notre histoire, commence en Novembre deux mille six, par une soirée neigeuse sur la ville de Londres. Dans l'une des salles d'accouchement de l’hôpital sainte marie, une femme, sur les conseils et encouragements des sages-femmes qui l'entoure pousse, encore et encore, jusqu'à offrir dans cette pointe de douleur extrême la vie à un enfant rose, fripé, petit, son premier cri. C'est là, que commença la vie de Rose Silberstein. Du moins, si l'on ne prend point en compte la vie d'un fœtus.
Du jour de sa conception, à celui de sa naissance, elle avait été bercé de chant et de musique, de contes de fées, offert par une voix douce caressant un ventre rond ou elle se cachait, attendant son moment pour venir cette Angleterre du début du vingt-et unième siècle. Son père, était un homme qui ne compterait que fort peu dans sa vie. Une erreur de sa père, tout autant qu'une erreur de son père, l'acte qui l'avait crée n'était pas le premier, mais fut le dernier. Car dans un monde tel que celui ou elle évoluerait, il n'était pas bon pour ceux du genre de son père, de frayer, avec ceux du genre de sa mère.
C'est pour cela, que lorsqu'elle revint à la demeure familiale. Une petite maison de l'East End, Elle fut accueilli comme il se devait par celle qui aiderait à l’élever, celle qu'elle nommerait nanny, sa grand mère.
Les premières années d'une enfant ne sont pas ce qu'il y a de plus mémorable pour elle. Après tout, elle aurait bien assez du grand nombre de photographies faites par sa famille, accompagné des récits de celle ci pour savoir ce qu'elle avait pu faire entre sa naissance et son quatrième anniversaire, là ou elle commençait réellement à avoir quelques souvenirs. Rien de grandiose que ces souvenirs. Une ballade au parc ou on l'a laissé monté sur un poney, un clown effrayant, une bêtise qu'elle à fait et qui lui a valu une fessée. Une fée dansant sur la glace et l’émerveillant plus que tout ce qu'elle avait pu voir auparavant.
Ce fut à cet âge, que, fascinée par la beauté d'une femme qui dansait sur la glace depuis le poste de télévision familiale, elle demanda à faire de même, à exercer ce sport et que commença, le développement réel des goûts de la demoiselle. Elle aimait ce qui était beau, gracieux, pur. Elle admirait les papillons et les oiseaux, rêvait de savoir ce que cela faisait de nager dans l'océan. Elle rêvait de princesse et de licorne, elle n'aimait pas le rose, mais le turquoise et le mauve pâle, des couleurs qu'elle avait appris à apprécier pour leurs accord avec sa chevelure d'un roux flamboyant dont certains aimaient déjà à se moquer. Elle était la petite rouquine, la sorcière, la sans âme. Elle était la fille de la bonne, ce qui n'était pas totalement faux, mais sa mère avait une place depuis des années en tant que femme de chambre dans le palais de Buckingham palace. Une place privilégiée qui, selon sa mère, ne devrait jamais leur monter à la tête. Néanmoins, toute la famille était pour le moins royaliste au possible et adulée révérencieusement sa majesté la reine Elizabeth II.
Pourtant, rien ne laissait paraître la place de la mère de la jeune fille. Pas plus que l'argent qu'elle pouvait gagner. Elles vivaient modestement, ni riche, ni pauvre, la jeune fille n'avait pas tous ses caprices, devait faire les corvées comme toute bonne jeune demoiselle ainsi que ses devoirs. Bien sur, tout n'était pas facile. Si elle s'en sortait avec brio dans les matières littéraire, les matières scientifique n'était pas vraiment sa tasse de thé. Ce qui lui posa plusieurs souci avec des notes peu reluisantes et des remontrances pour le moins sévère. Elle fut même punie d'une compétition de patin à glace une fois, car ses notes en science étaient vraiment trop mauvaises.
C'était en soit, une vie pour le moins ordinaire et banal. Chaque matin sa mère partait travailler et revenait le soir. Sa nanny s'occupait de la maison et d'elle, rien n'aurai pu laisser présager qu'il y avait en cette demoiselle, quelque chose de spécial. Bien sur, chaque parent dit à son enfant qu'il est spécial, qu'il est extraordinaire. Bien sur, ils les croient, ce sont leurs parents pourquoi ne les croiraient ils pas ? Mais quand sur un coup de colère suite à un chewing-gum collé dans ses cheveux un garçon de sa classe était arrivé le lendemain chauve, tous ses cheveux étant tombés dans la nuit. Quand un tripe axel se prolongea bien trop longtemps dans les airs. Quand encore, un papillon mort repris son envol. Certaines questions et curiosités se posèrent. Bien sur, on ne pouvait rien prouver, comment l'aurait on pu ? Mais c'était malgré tout intrigant et curieux.
Pourtant, le plus curieux advint aux dix ans de la demoiselle, lorsqu'un matin comme les autres, nanny ne se leva pas pour préparer le petit déjeuner, que les appels à sa porte restèrent sans réponse et que la porte s'ouvrant sur une chambre obscure ou une vieille dame prenait son repos, elle comprit qu'il serait le dernier. LE choc fut important, cette petite fille qui n'avait jamais réellement connu de malheur dans sa vie. Le deuil et la mort sont des choses étrange et particulière, que ce soit pour les enfants, les adultes, les moldus ou les sorciers. Du jour du décès de la vieille dame à celui ou, un étrange personnage intervint dans la rue dans la soirée. Il n'avait cessé de pleuvoir à foison sur la petite rue ou vivait la famille. Sur cette petite rue uniquement, comme si toute la tristesse d'un monde et d'une perte ne pouvait qu'inonder ce monde de ses larmes célestes.
Aussi, cela ne fut il pas une réelle surprise lorsqu'âgée de onze ans et ayant déjà fait une année au collège du quartier, un couple d'homme vint à sonner à la maison, parvenant à se faire inviter jusqu'au salon de la petite maison pour annoncer certaines nouvelles à la mère et à sa fille.
On leur parla des phénomènes qui avaient eu lieu durant la jeunesse de la demoiselle. De la magie, qui parfois se déclarait chez des personnes n'ayant jamais eu d'ancêtre pour leur transmettre, mais qui la développait malgré tout. De son inscription dans une école ou elle apprendrait à manier ses pouvoirs et à faire partie d'un monde différent, bien qu'elle puisse tout à fait faire partie du monde des non magiques si elle le désirait. Elle appris ce jour là, ce que voulais dire moldu. L'existence de la magie et d'un lieu qui se nommait, le chemin de traverse.
Ce fut là bas, qu'elle prit la réelle notion de sa différence, elle qui n'y avait cru que lorsque les messieurs face à elle avait fait quelques tours de magie grace à leurs baguette magique. Elle déambula avec l'un d'eux et sa mère, celui ci servant de lien entre les deux mondes, il expliqua tout ce qui devait l'être à la mère et à la fille. Les aida pour le change des livres sterling contre la monnaie sorcière à Gringotts, leur expliqua l'importance d'une baguette magique et le fait que la demoiselle se devrait d'en avoir une, bien que tout élève en dessous de dix sept ans ai l'interdiction d'effectuer des sorts en dehors de l'école ou de révéler le secret magique à des moldus sous peine d'exclusion.
L'achat de la baguette fut quelque chose de surprenant. L'homme s'attendait à sa visite, connaissait déjà son nom et lui parla en des termes surprenant, lui faisant tester quelques baguettes, l'incitant à faire des mouvements du poignet et autre. Sa mère, installer sur une chaise prêt de l'entrée, sursauta à chaque explosion, tombé de baguette, moustache immense qui poussa sur le visage du vendeur ou flamme qui prirent dans un aquarium. Jusqu'à ce qu'enfin une baguette lâcha une petite volée de papillon lumineux et que d'un sourire bienveillant, le vendeur lui dise que cette baguette l'avait choisi. Elle était en sorbier, ce qui était un bois qui ne choisissait que des sorciers et sorcières au cœur pur et incapable de malveillance. Que la souplesse de celle ci montrait une capacité à s'ouvrir aux autres et que le crin de licorne qui était au cœur de celle ci amenait à la bienveillance et à l'élégance. Il était curieux, de voir ce que deviendrait la relation entre la sorcière et sa baguette et ce fut sous les rougissements, d'une petite fille aux cheveux de feu, qu'ils quittèrent la boutique, allant chercher les robes et les livres, les chaudrons et les ingrédients peu ragoutant. Qui aurai cru que les sorcières utilisaient réellement des yeux de tritons et des queues de rats.
Au moment de quitter le chemin de traverse pour rejoindre leur maison familiale et pouvoir ainsi attendre le jour de la rentrée, la demoiselle ne put s’empêcher de penser que sa nanny aurait adorée tout cela et d'un gonflement dans le cœur, elle fini dans les jupes d'une mère qui, ne voulant laisser sa fille complètement seule dans cette école au loin, l'amena jusqu'à cette boutique ou des chouettes hululaient, des crapaud croassait et des chats ou du moins, ils y ressemblaient, miaulaient. Elle aurai droit à ce qu'elle avait jusqu'ici refusée. Après tout, elle serai à l'école la plupart du temps et avoir un animal de compagnie permettait de combler la solitude. C'est ainsi qu'elle sorti de la boutique en serrant contre son cœur une petite boule de poil, hybride de chat et de flereur aux grands yeux vert et au pelage roux et blanc duveteux qu'elle prénomma magnolia, la fleur préférée de sa nanny.
Les semaines d'attente jusqu'au départ lui semblèrent interminable. Elle ne pouvait cesser de se demander si on ne lui faisait pas une farce de très mauvais goût et pourtant, elle passait son temps à lire et relire les livres qu'elle avait acheté, se demandant si elle serait à la hauteur dans cette école ou la majorité des élèves avaient grandi dans ce monde.
Quand vint enfin le jour, elle etait aussi excitée qu'une puce, ses bagages prêt, sa nouvelle amie dormant paresseusement dans sa cage d'osier alors que sa mère l'amenait jusqu'à la gare, le couvrant de conseil en tout genre sur comment bien se comporter, sur comment elle pourrait la contacter quand elle voulait et que si cela ne lui plaisait pas elle pourrait rentrer à la maison. Qu'elle ne devrait pas se laisser faire par les autres et qu'elle était extrêmement fière d'elle. Les hommes du ministère les attendaient à la gare, avec quelques autres familles d'enfant qui semblaient tout aussi inquiet que la jeune demoiselle. Ensemble, ils furent conduit jusqu'au quai en passant au travers d'un mur qui lui fit pousser un petit cri de peur à l'idée de le percuter. Mais derrière attendait un splendide train qui, après quelques embrassade et aux revoir par la fenêtre, l'emmena vers sa nouvelle vie.
Dans le train elle rencontra plusieurs jeunes personnes qui comme elle entraient en première année. Des élèves plus âgés, les préfet comme ils s'appelaient qui leur donnèrent les instruction pour mettre leur uniforme à temps et les guider hors du train jusqu'à la personne qui les attendait sur les quais. Tous les premières années devait suivre et grimper dans des barques qui les emmèneraient sur un lac aussi noir que la nuit qui les entouraient, les étoiles s'y reflétant autant que les lumières du château majestueux qui les attendaient. Poudlard, sa nouvelle école.
La traversée du lac avait été quelque chose d'incroyable, tout autant que la montée des centaines de marches qui menaient du hangar à bateau à l'école. Elle avait été surprise de voir que les bateaux avaient avancés d'eux même. Plus encore par la magie qui entourait le château, les portes immenses, les armures qui grinçaient en les observant, les tapisseries ou les personnages semblaient bouger et les bougies flottantes. Tous ensemble, les première années furent amener à patienter jusqu'à la cérémonie de la répartition. Des maisons, des foyers, des points et de l'honneur. Une coupe. Elle ne comprenait pas tout et n'avait aucune idée de ce qu'était ces quatre maison, ni si l'une valait mieux que l'autre. Suivant le groupe à l'ouverture des portes, elle découvrit la grand salle, les tables immenses, le ciel qui semblait transpercer le plafond et ce chapeau etrange et rapiécé qui, une fois que tous furent devant lui, se mit à chanter une chanson des plus surprenante. Un chapeau qui parle. Un choixpeau plutot selon sa propre appellation. La chanson terminée, on leur explique qu'ils s'assieraient à tour de rôle sur le tabouret et qu'il les repartiraient dans les quatre maison. Bien des élèves furent réparti dans les quatre maison. Elle remarqua néanmoins quelques un d'entre eux. Arian Lestrange qui fut envoyer à Serpentard. Des jumeaux Scamander qui furent réparti tantot à Poufsouffle, tantôt à Serdaigle. Puis vint son nom, la laissant se prendre d'une raideur qu'elle n'avait que rarement connue, s'avançant tant timidement face à tous, s'installant sur le tabouret alors qu'on posait le choixpeau sur son crane. Et si il disait que c'était une erreur et qu'on la renvoyait chez sa mère ? Non, le choixpeau lui parla, il l'étudia. C'était étrange de se dire que cette chose pouvait lire ses pensées. Pourtant, il ne lui fallut pas plus de quelques secondes pour qu'il crie joyeusement la maison de poufsouffle et que, sautant du tabouret, le couvre chef retiré, elle trottine vers la table qui l'applaudissait, tous vêtu de jaune, la saluant avec joie. D'autres encore furent répartie, dont une autre fille chez poufsouffle Agatha Yeats. Vint alors le discours du directeur, le banquet et finalement, l'appel de la salle commune, de cette pièce chaleureuse et réconfortante embaumant le chez soit, les plantes et la bonne nourriture.
La première année à Poudlard passa à la vitesse de l'éclair. Entre les cours et les devoirs, la magie qui semblait se réveiller en elle, les sorts qu'elle apprit, elle n'eut pas le temps de voir les saisons passer. Elle se fit des amis bien sur, peut être des ennemis, après tout on ne peut être apprécier de tous, mais dans l'ensemble, ce fut une année magique et merveilleuse, entrecoupée de ses retours à la maison pour les vacances et de ses lettres longues comme le bras à sa mère lui racontant tout ce qui se passait, ce qu'elle voyait. Son seul regret avait été qu'il n'y ai pas de patinoire pour qu'elle puisse continuer à s’entraîner comme elle l'avait toujours fait, mais c'était peu de chose quand on voyait tout ce qui l'entourait n'est ce pas ? Puis durant les vacances, il n'y avait pas un jour ou elle n'était pas sur la glace, à danser, voler, profiter. Qu'est ce que c'était qu'un peu de temps sans ce loisir quand on apprenait à devenir une sorcière de poufsouffle ?
La seconde année passa tout aussi vite que la première entre les cours et la vie, les amis et les rires. Il y eu des sélections pour l'équipe de quidditch, le sport sorcier et si elle n'était pas contre encourager sa maison, elle ne supportait que fort peu d’être sur un balai. Le vertige est un problème qui peut prendre n'importe qui, vraiment. Se concentrant sur ses études, elle continuait d'informer sa mère de chaque nouveauté et information qu'elle jugeait importante. Peut etre un peu trop d'ailleurs, car elle ne faisait plus assez attention à ce qui l'entourait ou à ceux qui l'entourait.
La troisième arriva avec plaisir, la demoiselle grandissant, s'affirmant quelque peu. Elle avait commencé à connaître les affres de la féminité et son corps se modelait doucement pour devenir celui de la femme qu'elle devrait être. Les cours optionnel furent choisi, d'autres évités, chacun amenant son lot de découvertes, d’émerveillement ou de questionnements complexe, car la magie ce n'était clairement pas si simple que cela.
Ce fut aux vacances de noël de cette troisième année que certaines choses apparurent. La fatigue de sa mère, son teint cireux, certains papier à l'entête médicale sur la table. Il y eu de l'inquiétude, bien sur, quelques questions, mais sa mère avait l'art et la manière de dissimuler les choses, de cacher la vérité et de ne pas inquiéter sa fille qui avait déjà tellement à faire avec ses études et dont elle était si fière. Elle endormi ainsi les craintes de sa fille par quelques mensonges et détours, parvenant à la renvoyer à Poudlard, la nouvelle année passée. La jeune fille, insouciante sur certains points continua ainsi ses études, son année avec une certaine joie, s'inquiétant un peu pour sa mère, mais celle ci avait dit que tout allait bien. Comment aurait elle pu soupçonner qu'il en était autrement ?
Durant les vacances scolaire qui séparaient sa troisième et sa quatrième année, elle passa du temps avec celle ci, l'aidant autant que possible, cette brave femme qui se tuait au travail, qui avait été malade mais, c'était fini, passé et elle se rétablirait avec un peu de temps, n'est ce pas ? C'était dans cet optique, qu'elle quitta sa maison en septembre deux mille dix-neuf, prête pour une quatrième année à Poudlard et qu'elle y retournera quelques mois plus tard, accompagné d'un professeur pour dire au revoir à une femme qui avait caché jusqu'au bout son état à sa fille.
Elle avait un cancer. Assez violent et n'avait pas voulu inquiéter sa fille. Elle ne pensait pas que la magie puisse soigner ce genre de choses et bien qu'elle ai lutté jusqu'au bout, il était temps pour elle de partir. Les adieux furent déchirant à bien des égards. La peur, la rage, la colère, la culpabilité, la tristesse et le désespoir. La jeune fille allait se retrouver seule, complètement seule, sans famille pour la soutenir, sans personne à qui parler de sa vie, sans foyer vers ou retourner.
Elle se sentait stupide de ne pas avoir vu l'état de sa mère, de ne pas l'avoir sauvée grâce à la magie. Elle ne comprenait pas pourquoi elle en avait fait un secret, pourquoi elle n'avait pas chercher à se faire soigner par des médecins sorciers, pourquoi elle l'abandonnait.
Sa tristesse fut inqualifiable, tant elle perdit en matière et en présence. Elle n'était plus que l'un de ces fantômes qui erraient tristement dans le monde, dans les couloirs de l'école avec cette lettre qu'elle lui avait laissé, cette lettre qui expliquait tout et qui lui dirait qui était cet homme qu'elle n'avait jamais vraiment cherché puisque selon sa mère, il était en réalité décédé. Elle l'avait même amené sur une tombe une fois pour le lui prouver. Elle n'était pas en état de la lire, pas en état d'y réfléchir, d'y penser,de quoi que ce soit en réalité.
Alors elle la rangea là ou elle ne la verrait pas, comme sa peine, sa rancœur, sa détresse et sa peur. Elle tenta de ré accrocher un sourire sur ses lèvres et...tant bien que mal, avança dans cette vie et dans ce monde. Pourtant, un petit quelque chose changea. Une bienveillance d'un professeur qui, cherchant à la faire sourire pour de vrai et non par ce masque qu'elle avait posé sur son visage, lui présenta la salle sur demande, un lieu ou, d'un seul souhait, une patinoire magique apparaîtrait et tout l'équipement nécessaire.
De ce jour, elle reprit ses entraînement quotidien, se fatiguant sur la glace, expulsant chaque mauvaise pensée, douleur, tristesse, vers la glace et la danse qu'elle y pratiquait, revenant essoufflée et éreintée d'avoir mis tous son être dans cet instant.
Cet été là, elle ne rentra pas à la maison, pas vraiment, puisque celle ci avait été libérée et qu'une autre famille avait dû s'y installer. La joie des locations. A la place, elle passa l'été dans une sorte de centre pour adolescents occupant une chambre parmi d'autres, ne sachant trop que faire de son temps, de ses jours, observant le monde par la fenêtre. C'était étrange de voir comme, en si peu de temps tout pouvait vous être enlever. Bien sur, étant mineur elle avait un tuteur légal mais c'était plus pour la forme qu'autre chose, il fallait un adulte responsable pour s'occuper d'elle, mais cela n'irait pas jusqu'à reformer une sorte de famille ou l'accueillir dans un foyer. Puis elle ne se voyait pas demander à ses amis si elle pouvait passer l'été chez eux, ce serait un peu trop...intrusif et malpoli à son goût. Alors elle patienta, que le temps de retourner à poudlard revienne, attendant cet hibou qui lui amena sa liste de fourniture annuel et avec cela, une petite surprise. Un insigne délicat de couleur jaune. Celui des préfet. Étais ce par charité ? Pitié ? Ou parce qu'elle le méritez vraiment ? Elle n'avait pas su le dire immédiatement, mais avait accepté et aborré avec une certaine fierté l'insigne sur sa poitrine à la rentrée. Bien sur cela amenait d'autres responsabilité, la surveillance des couloirs, la discipline avec les plus jeunes et parfois les plus âgés, l'écoute et le soutiens également, car c'était cela pour elle, un préfet. Avec son homologue masculin elle fit ce qu'elle peut pour allier ces nouvelles responsabilité avec ses études et sa vie sociale, ne quittant plus Poudlard pour les vacances d'hiver, découvrant la magie d'un Noël en cette école et un cadeau particulier. Une photographie de sa mère, qui, par un sortilège s'était mis à prendre vie, laissant un peu de cette femme à tout jamais avec sa fille qui pleura beaucoup devant un cadeau qu'elle aimait pourtant fortement et qui était des plus attentionné.
L'année continuant vint la période des examens. Les fameuses B.U.S.E. Elle ne peut se targuer d'avoir été excellente en tous les domaines, mais à obtenu des Optimal en métamorphose, sortilège, botanique, astronomie et soins aux créatures magiques. Effort exceptionnel en défense contre les forces du mal, étude des runes et histoire de la magie, Acceptable en potions...une matière qui la fait bien trop penser aux sciences et en laquelle, elle n'a jamais su briller. Néanmoins avec neuf BUSE obtenu sur les neuf passée, elle pouvait être fière d'elle et de son travail et appréhender la sixième année à venir avec sérénité. La grande question restée celle de son orientation...que souhaiterait elle faire, une fois ses études à Poudlard terminé ?

Je m'appelle Lykath. J'ai 34 ans. Je suis passionné(e) par la lecture et l'écriture. Le monde des contes de fées.
Et pour finir, donne nous ton avis sur le forum Un forum simple et pourtant raffraichissant. Une belle évolution à venir, cela donne envie d'écrire et de voir l'avenir..